L'esraj.
L’Esraj est instrument a archet que l’on trouve aujourd’hui principalement au Bengale. Joué assis au sol, il est tenu en position verticale. Sa caisse de résonnance est recouverte d’une peau sur laquelle repose directement le chevalet, et sous les cordes principales sont tendues quinze cordes dites sympathiques, accordées sur le mode musical utilise, qui vont vibrer chacune leur tour quand les notes correspondantes seront jouées, et ajouter leur timbre riche et aérien au son de l’instrument. Bien que l’Esraj existe depuis plusieurs siècles, sa lutherie a été largement repensée dans les années 70 par Ranadhir Roy - maitre d’Abir Singh lui-même maitre d’Alexandre-, qui a agrandit et modifie l’instrument pour lui donner plus de puissance, de gravite, de profondeur et de tenue.
L’Esraj est instrument a archet que l’on trouve aujourd’hui principalement au Bengale. Joué assis au sol, il est tenu en position verticale. Sa caisse de résonnance est recouverte d’une peau sur laquelle repose directement le chevalet, et sous les cordes principales sont tendues quinze cordes dites sympathiques, accordées sur le mode musical utilise, qui vont vibrer chacune leur tour quand les notes correspondantes seront jouées, et ajouter leur timbre riche et aérien au son de l’instrument. Bien que l’Esraj existe depuis plusieurs siècles, sa lutherie a été largement repensée dans les années 70 par Ranadhir Roy - maitre d’Abir Singh lui-même maitre d’Alexandre-, qui a agrandit et modifie l’instrument pour lui donner plus de puissance, de gravite, de profondeur et de tenue.
Le didgeeridoo.
Le Didgeeridoo est un instrument joué par les populations aborigenes d'Australie. Il est considéré comme le plus vieil instrument à vent au monde. Branche d'eucalyptus dont le coeur a été creusé dans sa longueur par les termites, il forme une trompe de bois dans lequel on souffle en faisant vibrer les lèvres d'une facon particulière. L'impact sonore de la vibration est transformée naturellement en raisonnant dans l'instrument.
Une note est alors produite, et cette note est ensuite vitalisée par différentes positions de la bouche et de la langue, et maintenue sans interruption grace à la technique du souffle continu.
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